
25, 26 & 27 SEPTEMBRE 2025
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PARIS
Y'a pas qu'le vivant
dans la vie !
En tant qu’espèce dominante, notre corps d’humain agit à grande échelle.
Il transforme les lieux, dérégule les cycles, déplace les frontières entre ce qui vit et ce qui ne vit pas. Il reçoit et renvoie des signaux - émotions, caresses, agressions – mais n’accorde plus toujours d’attention à ce qu’il perçoit.
Peut-être avons-nous désappris à nous en servir comme d’un outil de relation au monde, préférant déléguer cette compréhension aux idées, aux chiffres, aux pourcentages – alors même que le corps, lui, continue d’imprimer sa trace.
Ces rapports essentiels qui nous relient, en tant qu’humains, au vivant comme au non-vivant, sont au cœur de la deuxième édition de la Biennale du vivant, intitulée “Y’a pas qu’le vivant dans la vie”.
Cet événement réunit quatre membres fondateurs : le Muséum national d’Histoire naturelle, l’Ecole normale supérieure - PSL, l’Ecole des Arts Décoratifs - PSL. Trois grandes institutions françaises d’enseignement supérieur et de recherche françaises, associées au quotidien Libération.
Une biennale pour penser au-delà du vivant
Cette alliance est notre façon d’affirmer cette conviction qui nous habite : celle que nous ne saurions faire face à la sixième extinction de masse, à la déliquescence des écosystèmes, chacun de son côté.
Cette union incarne notre souhait d’indiquer que les croisements des champs artistique, scientifique et critique permettent - à leur échelle - d’éprouver des pistes de réflexion et d’action.
Une alliance face aux urgences écologiques
Interroger les limites du vivant
En d’autres termes, nous avons besoin de tous les savoirs et de tous les arts créatifs pour réfléchir à la délimitation entre le vivant et le non-vivant et de débattre de la pertinence culturelle et scientifique de ces deux catégories. Car elles sont plus relatives qu’elles n’en ont l’air...
Peut-on absorber la vie sans la relier à ce qui la rend vulnérable ?
Avons-nous les moyens d’envisager l’existence à hauteur d’insecte ?
De l’humain, de l’animal, du fleuve et du végétal, comment distinguer qui protège qui ?
Quelles histoires de vie et de mort nous racontent les pierres ?
Quelle mémoire nous laissent les espèces qui disparaissent, et quel est le mode d’existence des fantômes ?
Il est enfin, question de faire des choix : humains et technologies, viva l’IA ?
Que vous soyez artiste, biologiste en herbe, ou que vous vous interrogiez sur ce que signifie vieillir, survivre, disparaître : entrez dans l’espace de dialogue et de curiosité qu’ouvre la deuxième édition de la biennale du vivant.
Rendez-vous le vendredi 26 et le samedi 27 septembre à l’Ecole des Arts Décoratifs et à l’Ecole normale supérieure - deux institutions de l'Université Paris Sciences et Lettres – pour deux jours de débats, d’expositions, de rencontres, de spectacle.
Une invitation à tous les curieux
Les intervenant.e.s