Doit-on conserver la mémoire de ceux qui disparaissent ?

🗓️ 27 septembre 2025
🕐 De 16h à 17h30
📍École Normale Supérieure - PSL

Doit-on conserver la mémoire de celles et ceux qui disparaissent ? Comment préserver la mémoire d’un fleuve, d’une mer, d’une montagne ? Quelle forme peut-elle prendre à l’heure d’une extinction massive de la biodiversité ?

Avec Catherine Frenak, architecture, ENSAD-PSL Aline Thomas, bioarcheologie, MNHN et Luba Jurgenson, littérature russe, Université Paris-Sorbonne

Crédit Photo : John Do

 

Vestiges du vivant

Sensations, couleurs, sons affleurant à la conscience… La mémoire serait-elle impalpable ? Fossiles, traces d’ADN ou de carbone 14, témoignages, reconstitutions, dispositifs, paysages, innombrables sont les matériaux de la mémoire mobilisés par les bio-archéologues, les historiens et les artistes.

Doit-on conserver la mémoire de celles et ceux qui disparaissent ? Comment préserver la mémoire d’un fleuve, d’une mer, d’une montagne ? Quelle forme peut-elle prendre à l’heure d’une extinction massive de la biodiversité ?

 

Intervenantes

Catherine Frenak - Architecture, ENSAD-PSL

Aline Thomas - Bioarcheologie, MNHN

Luba Jurgenson, Littérature russe, Université Paris-Sorbonne

 

Voir aussi :

Précédent
Précédent

Prolonger la vie : quand ça n'en finit pas

Suivant
Suivant

Les technologies à l'épreuve du vivant : viva l'IA ?